Dans une société qui étouffe sous le poids de la rationalité scientifique et des logiques capitalistes, c’est dans la réappropriation des corps et des ressentis que se logent un peu de liberté et de magie.
Se relier au vivant non pas de manière intellectuelle, posturale ou sociale, mais en s’ouvrant aux dimensions physiques et sensorielles qui traversent nos chairs et nos âmes. Dans l’imprévu et le chaos, mu par les émotions et guidé par l’intuition, le sensible réinvente alors ses propres cosmologies.
APPROCHE DU SENSIBLE
Noémie Delfine